Publié le : 29 mars 2014 Source : scriptoblog.com La percée de Marine Le Pen en France, conjuguée à la fois au phénomène peut-être encore plus intéressant d’une abstention de 38 % – un score encore jamais atteint chez nos amis transalpins -, à ce qu’on appelle les « populismes » (j’avoue ne pas comprendre ce que signifie vraiment le terme « populisme » et pourquoi il faut forcément lui attribuer un caractère péjoratif), et à la volonté indépendantiste vénitienne confirmée par un récent référendum, est interprétée de façon unanime comme une protestation contre l’Europe. D’après moi, l’Europe est une cible facile, car étant abstraite, on peut décharger sur elle un malaise bien plus profond que la crise économique – encore toute relative en Occident, le pire reste à venir – accentue, mais dont elle n’est pas la véritable source. Ce qui est en jeu, ce n’est pas l’Europe,...
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