Posté par : enquete-debat 24-01-2015
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Publié le : 03 juin 2013 Source : bvoltaire.fr Au moment où le gouvernement constate le caractère élitiste des « prépas » — où se bousculent surtout les jeunes décidés à consacrer deux années de leur vie à la préparation d’un concours difficile — et veut les ouvrir à une plus grande diversité, voire faire payer des droits d’inscription, Le Monde soulève le problème des faux étudiants uniquement intéressés par la perception d’une bourse et ne fournissant aucun travail. Copie blanche rendue. Ils ne sont venus que pour signer la feuille de présence et continuer à bénéficier de leur bourse. « Nous, direct, on signe, on s’en va. Ici, on est payés à rien foutre. » Ilyes, Ryan, Dylan, trois compères à la démarche chaloupée, assument, débonnaires, leur stratégie de survie par temps de crise. « On a la bourse, on travaille de partout au noir, on s’en tire avec 1.500 euros facile. » Une...
Publié le : 12 mai 2013 Source : La Croix Le 22 mai au Parlement doit s’ouvrir le débat sur le projet de loi présenté par Mme Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR) Si ce projet de loi était adopté, Il n’irait plus de soi qu’en France les établissements publics de formation enseignent en français. Fortement opposé à l’introduction de cours en anglais à l’université, Bernard Pivot explique la nécessité de continuer à promouvoir le français dans le monde. La Croix : L’anglais comme langue d’enseignement dans les facs françaises, cela vous scandalise-t-il ? Bernard Pivot : Oui, tout à fait, car je crois, comme Michel Serres, que si nous laissons l’anglais s’introduire dans nos universités, si nous le laissons, seul, dire la science et le monde moderne, alors le français se mutilera et s’appauvrira. Il deviendra une langue banale, ou pire, une langue morte. En donnant la...