Rassurez-vous (j’espère !) : La Plume à Gratter, toute occupée qu’elle était à dresser quotidiennement le triste bilan de nos chères zélites, n’en a pas pour autant profité pour déposer le sien : son silence épistolaire et son gros coup de mou à relayer les articles et vidéos qu’il faut lire ou voir pour être un peu au fait de la véritable actualité, ne s’explique pas par un gros coup de mou psychologique ou par une soudaine envie d’aller voir ailleurs si l’herbe pouvait y être plus verte… Non, cette semaine particulièrement erratique n’a qu’une explication : une s… de fumisterie de virus (le troisième de l’hiver, n’en jetez plus, la coupe est pleine !), particulièrement virulent, mauvais comme un Valls, vicieux comme une Taubira, qui a cloué sur place votre serviteur, le réduisant à l’état de loukoum intellectuel, avec tous les symptômes qui vont avec… fièvre, mal de crâne, j’en passe et des pires. Impossible durant toute la semaine qui vient de passer de me mettre devant l’ordinateur sans en payer immédiatement le prix : des maux de tête aussi rédhibitoires que ceux que l’on peut éprouver à l’écoute d’un discours de BHL sur l’Ukraine ou la Syrie… Bref, votre serviteur était complètement H.S. !
J’entrevoie ce matin le bout du tunnel, je pense donc que je devrais pouvoir me remettre au travail dès demain. Encore mille excuses pour ce silence dont j’aurais d’ailleurs dû vous donner bien plus rapidement l’explication. La Plume revient très vite, c’est promis !
Marc LEROY – La Plume à Gratter
Prompt et complet rétablissement mon cher Marc!!
Dommage que ce virus si agressif n’ait pas ciblé plutôt nos journalistes bavards et nos politiciens zélés… Cela nous aurait fait des vacances…
Merci Christine !
Je suis en train de sortir du coma intellectuel où ma crève m’avait plongé… pour tomber sur les dernières déclarations de Valls, Hollande et Taubira : comme remède de cheval (ou plutôt comme coup de pied de l’âne), ça se pose un peu là ! Je suis en train d’écrire un petit papier sur Vladimir Poutine qui devrait vous plaire
Bises
Une petite infusion de thym, du miel et du repos et bientôt vous reviendrez tout ragaillardi!
Merci en tout cas pour la qualité de votre travail et à bientôt.
Ma chère Catherine,
Milles mercis pour votre soutien ! Je suis en train de voir le bout du tunnel, mais c’est mon pire hiver jamais vécu, question « crève » carabinée, maux de tête et nez bouché. Sans doute la fréquentation assidue et quotidienne de la médiocrité, de la bassesse, de la malhonnêteté de nos chers dirigeants, non contente d’altérer mon moral et ma foi en l’être humain, a-t-elle aussi sérieusement fait baisser mes défenses immunitaires ? A un certain stade, la dégueulasserie politique (je ne sais pas pourquoi, mais en écrivant ce mot, je pense irrésistiblement à Manuel – merde quand même ! – Valls) a en réalité tout du très mauvais virus !
Je vous embrasse, comme Christine et Odile : la femme est le passé, le présent et l’avenir de homme, et je reprends à mon compte le célèbre mot d’esprit du grand Guitry : « je suis contre les femmes… tout contre ! »
Tous mes vœux de bonne santé après ce coup de mou… et vive la Plume !!
Ma chère Odile,
je suis confus devant tant de gentillesse : mes lectrices sont décidément FORMIDABLES ! Je ne peux que vous embrasser virtuellement, mais tout mon coeur y est. Je sors de mon semi-coma (et de mon lit), je reprends le flambeau (pas le Flamby !), ça va gratter à nouveau !
Grosses bises
bon retablissement
Merci mon cher lors
je suis de nouveau sur le pont. Les jambes flageolent encore un peu, mais j’arrive à me mettre devant l’écran sans que ma tête explose : tout va rentrer dans l’ordre !
amitiés
Je ne sais pas si ça pourra vous consoler mais la compagnie est grande, depuis quinze jours
la grippe sévit avec une agressivité rarement rencontrée, tout le monde ou presque passe
ou a passé trois ou quatre jours au lit. Les miraculés sont rares, j’espère continuer à en
faire partie.
En attendant je vous souhaite un parfait rétablissement et j’espère vous lire bientôt.
Amitiés.
Mon cher maitre,
je suis en train de retomber sur mes pieds, et du coup, dans les turpitudes qui nous affligent, que ce soit au niveau national ou international. Quelle époque, mon Dieu, quelle époque ! Malgré ma volonté d’y croire toujours (qui a parfois tout de la méthode Coué, je vous l’accorde), je me demande si le nom de votre blog n’est pas plus adapté à l’air du temps (qui sent bien mauvais) que celui que j’ai choisi pour le mien… mais foutu pour foutu, autant sombrer avec le bateau France en distribuant (en mots hélas plus qu’en actes) quelques bons coups de pied au cul de nos chères « zélites ». Et sur ce point, nous nous retrouvons, et pas qu’un peu ! A l’abordage, pas de quartier, et morts aux cons (quelle hécatombe en perspective !)
Sincèrement votre, comme toujours